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Liste des artistes, auteurs et commissaires

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Fonds documentaire OPTICA (Service des archives de l'Université Concordia)

Ouvrages aidant à la consultation des archives

Droits électroniques




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Des policiers à cheval de la ville de Toronto et d’autres à pied confrontent une foule au centre-ville le 4 mai 1992, pour réprimer le vandalisme et le pillage. Photo : John Mahler, The Toronto Star, 4 mai 1992 | Mounted Metro police officers and others on foot confront a crowd downtown on May 4, 1992, to quell vandalism and looting. Photo: John Mahler, The Toronto Star, 4 May 1992

Pamila Matharu
du 21 janvier 2023 au 1 avril 2023
Where Were You in ‘92?

Vernissage, samedi le 21 janvier : 15h à 17h
Visite commentée de l'exposition par Pamila Matharu, 15h à 16h - en anglais

Expérimentant avec le son, l’image, les textes trouvés et les actes de contre-archivage d’expériences personnelles et politiques, Where Were You in ‘92? met en relief les archives incarnées que constitue l’héritage révolutionnaire de Fresh Arts, un programme dirigé par des artistes noir.e.s qui est issu de la fureur d’une jeunesse enflammée. Pamila Matharu, une mentorée de Fresh Arts, revient non seulement à ce moment clé, mais aussi à son mentor, Winsom Winsom, dont l’histoire activiste de plus de dix ans à Kingston, en Ontario, est méconnue. Ce projet de recherche s’appuie sur la prémisse que les archives se manifestent dans des corps vivants, des histoires répétées, des conversations inachevées, que déclenchent des événements du passé et qui persistent dans le présent et, surtout, dans des pratiques de guérison issues de liens intergénérationnels. Intéressée par les formes de généalogies féministes qui citent le passé et utilisant l’archive comme forum de reconnaissance, de résilience et d’amour radical, Matharu fait un retour sur l’insurrection menée par les jeunes à Toronto, en 1992, qui a donné lieu à Fresh Arts. Where Were You in ‘92? trace de nouveaux liens dans l’histoire et la géographie, attirant les personnes qui héritent de son legs et bloquant les autres qui en ont mobilisé les forces centrifuges.

Cette exposition a été initialement présentée au Agnes Etherington Art Centre, Kingston, Ontario (30 juillet – 4 décembre 2022).

Auteure : Emelie Chhangur

Traductrice : Colette Tougas

Pamila Matharu et l'équipe d'OPTICA tiennent à remercier Emelie Chhangur, directrice et conservatrice, Nasrin Himada, conservatrice associée, Sensibilisation académique et engagement communautaire, Charlotte Gagnier, coordonnatrice du programme, et Leah Cox, coordonnatrice des expositions au Agnes Etherington Art Centre, Kingston. L'artiste souhaite également exprimer sa gratitude envers Winsom Winsom, son mentor.

COMMUNIQUÉ DE PRESSE (pdf)

REVUE DE PRESSE

DELGADO, Jérôme, « 'Sédiment' : les archives, outil de survie », Le Devoir, 11 février 2023.

DELGADO, Jérôme, Nicolas Mavrikakis.«Dix expos d'arts visuels à surveiller», Le Devoir, 14 janvier 2023.

Soulignons que Pamila Matharu participe à deux expositions collective à Montréal cette saison :

- Sédiment : les archives comme base fragmentaire, à la Galerie Leonard & Bina Ellen, du 4 février au 1er avril 2023. Incluant Sandra Brewster, Filipa César, Justine A. Chambers, Louis Henderson, Krista Belle Stewart.

Commissaire : Denise Ryner
Vernissage le samedi 4 février, 15h – 17h

Visite commentée de l’exposition par Denise Ryner, le samedi 4 février à 14h, en anglais

- Desire Lines. Des espaces narratifs en déplacement présentée à Artexte jusqu’au 25 mars.

Commissaire : Felicity Tayler
Incluant Luis Jacob, Tomasz Neugebauer, Clive Robertson et Felicity Tayler.



Pamila Matharu est une « settler » [non autochtone], de parents originaires du Pendjab en Inde (ville de Jalandhar et village de Bhanolangha dans le district de Kapurthala), née à Birmingham, au Royaume-Uni, et arrivée au Canada en 1976. Elle vit à Tkarón:to (Toronto) – territoire du Traité no 13 – sur les terres des Mississaugas de la Première Nation de Credit, des Anichinabés, des Haudenosaunee et des Wendats. Elle détient un baccalauréat en arts visuels et un baccalauréat en éducation (beaux-arts) de l’Université York. Abordant l’art contemporain du point de vue de la pédagogie critique et utilisant un prisme féministe interdisciplinaire et intersectionnel, Pamila explore dans son travail une vaste gamme de formes, dont l’installation, la pratique sociale et l’art médiatique expérimental. Sa première exposition, en 2019, intitulée One of These Things Is Not Like the Other, présentée à A Space Gallery (Toronto), a reçu l’OAAG Award for Best Exhibition ainsi que le Homebrew Award du Toronto Images Festival, tous deux en 2019. Son projet INDEX (SOME OF ALL PARTS) a remporté l’Edward Burtynsky Photobook Award du festival CONTACT en 2020. En mai 2023, une monographie sera lancée au Peel Art Museum and Archives (PAMA), à Brampton, en Ontario.

Née à Toronto, l’artiste et auteure primée Emelie Chhangur est directrice et conservatrice de l’Agnes Etherington Art Centre. Auparavant, elle a été conservatrice en chef à l’Art Gallery of York University (AGYU), à Toronto, où elle s’est fait connaître pour sa pratique socialement engagée, ses commandes de collaboration à long terme et sa pratique institutionnelle de « in-reach ». Elle est lauréate du premier OAAG BIPOC Changemaker Award (2019) ainsi que du prix d’excellence pour le commissariat en art contemporain de la Fondation Hnatyshyn (2020).




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Leyla Majeri, Garden Archive : There's a wasp who penetrates the ladybug. Circa Art Actuel, Montréal, 2019.
Crédits photos : Jean-Michael Seminaro / Leyla Majeri

Leyla Majeri
du 16 février 2023 au 16 février 2023
En conversation avec Leyla Majeri, récipiendaire de la résidence Intersections 2022

de 12h45 à 13h45
Université du Québec à Montréal
Pavillon Judith-Jasmin, local J-7130 (situé au 7e étage)
405, rue Sainte-Catherine Est (angle St-Denis) H2L 2C4

L’artiste Leyla Majeri s’intéresse aux notions d’écoféminisme, soit la réactivation de savoir-faire artisanaux et l’ethnobotanique, à travers une pratique installative, sculpturale et filmique expérimentale. Au cours de cette conversation, elle fera part de sa démarche artistique et de la recherche qu’elle a réalisée pendant sa résidence au centre OPTICA. Elle s’entretiendra aussi sur sa production effectuée dans les ateliers de l’École des arts visuels et médiatiques de l’UQAM.

La discussion sera animée par Romeo Gongora, professeur à l’École des arts visuels et médiatiques de l’UQAM, et Marie-Josée Lafortune, directrice du Centre d’art contemporain OPTICA. Une période de questions suivra sa présentation avec le public.

Venez en grand nombre!

Programme de résidence artistique Intersections : La résidence Intersections de recherche, de création et de diffusion récompense des artistes émergent.es, issu.e.s de l’immigration (de première ou de seconde génération), qui sont membres des minorités ethniques ou visibles et diplômé.e.s de la maîtrise à l’École des arts visuels et médiatiques de l’UQAM. Ce nouveau programme vise à offrir un soutien aux artistes de la diversité en leur donnant accès à un accompagnement professionnel, complémentaire à leur formation universitaire dans le milieu artistique montréalais. Pour de plus amples informations, consulter le site.



La résidence Intersections est une initiative conjointe du Conseil des arts de Montréal, du Centre d’art contemporain OPTICA et de l’École des arts visuels et médiatiques de l’UQAM.



Titulaire d'une maîtrise en arts visuels et médiatiques de l’UQAM, Leyla Majeri concentre sa pratique sur l’installation sculpturale et le film d’animation expérimental qu’elle relie aux écologies présentes entre la matière, l’imaginaire et le politique. Avec Harness the Sun (Arprim, Montréal, 2016), elle initie un dialogue entre sa pratique artistique et sa pratique de jardinage pour envisager des manières de faire qui soient ancrées dans l’idée d’engagement, à la fois comme processus artistique et mode de résistance. Depuis Don't Blame Us If We Get Playful (Galerie de l’UQAM, 2018) et Garden Archive - There’s a wasp who penetrates the ladybug (CIRCA, Montréal, 2019), elle poursuit cette exploration où elle conjugue différents langages et territoires de pratique, matérialités, formes de vie et biotopes. Ses recherches en cours puisent dans les approches fictionnelles de l’ethnographie, la biologie spéculative et les formes de connaissances intangibles qu’elle réimagine depuis une parcelle de terre, au milieu d’un champ agricole, où elle a aménagé un potager vivrier, une pharmacopée de plantes médicinales et récemment, y a inclus des végétaux qu’elle incorporera dans son travail.

Outre ces réalisations, mentionnons les expositions à la Parisian Laundry, à Eastern Bloc, au Paved Arts / Sounds Like (Saskatoon) en 2016 et prochainement, au centre Skol, en 2023. Leyla Majeri est récipiendaire de subventions de projet du Conseil des Arts du Canada et d’une résidence de recherche au centre Est-Nord-Est (Saint-Jean-Port-Joli, 2017). Leyla Majeri vit à Tiohtià:ke / Mooniyaang / Montréal où elle est née.

Site web de Leyla Majeri.





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Visuel de l'activité de collage inspirée de la pratique de Pamila Matharu, février 2023. Crédit photo : Anne St-Louis. Visual of the collage activity inspired by the art practice of Pamila Matharu, February 2023. Photo Credit: Anne St-Louis.

Pamila Matharu
du 25 février 2023 au 25 février 2023
Nuit blanche 2023 : Venez décorer un carnet de notes personnel chez OPTICA!

À l’occasion de la Nuit blanche 2023, OPTICA invite le grand public à une nuit de découvertes et d’expérimentations artistiques s’inspirant de la pratique de Pamila Matharu et de son exposition Where were you in ‘92?. Les participants et participantes de tous les âges sont invité.es à visiter les espaces d’exposition et à prendre part à un atelier de collage, durant lequel ils.elles pourront décorer la page couverture d’un carnet de notes, le tout en sirotant une bonne boisson chaude, accompagnée de biscuits.

OPTICA tiendra deux ateliers : un premier destiné aux jeunes enfants et leur famille, et un second pour un plus large public. Le centre proposera également au cours de la soirée une courte présentation de la pratique de l’artiste ainsi qu’une visite commentée de l’exposition pour les intéressé.es. Les portes des salles d’exposition seront ouvertes au public durant toute la soirée pour ceux et celles qui aimeraient visiter de manière autonome.

Dans une ambiance chaleureuse et décontractée, l’activité proposée se veut une manière d’archiver sa pensée, d’utiliser ses sens, de se détendre, de s’amuser, de découvrir, de déconnecter du quotidien, de développer son intuition, sa créativité et de développer aussi une meilleure connaissance de soi-même et/ou d’un sujet.

À noter que la visite de l’exposition et la participation à l’atelier sont gratuites. Au plaisir de vous y voir en grand nombre!

Voici un horaire plus détaillé de la soirée :
- 19h00 à 00h00 : Visite libre des espaces l’exposition
- 19h00 à 20h30 : Atelier de collage destiné aux familles et à leurs jeunes enfants
- 20h30 à 21h00 : Visite commentée de l’exposition animée par la médiatrice du centre
- 21h00 à 00h00: Atelier de collage destiné au grand public

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Anouk Verviers, Tu m'as donné ton pot à bines (lettre à ma grand-mère). Vue d'exposition à Deptford X (Londres, UK), 2022. Installation vidéo. Structure de contreplaqué, pots en argile crue, projection sur bois. Vidéo 4K et son pour écouteurs. | Exhibition view at Deptford X (London, UK), 2022. Video installation. Plywood structure, raw clay pots, projection on wood. 4K video and sound for headphones. Crédit photo : Anouk Verviers

Anouk Verviers
du 22 avril 2023 au 17 juin 2023
Qu'est-ce qu'on peut construire sur un sol en mouvance

Vernissage : 22 avril à 15h00, en présence de l'artiste
Conversation publique le 29 avril à 15h00 entre Anouk Verviers et Didier Morelli

Par l’entremise de l’exposition Qu'est-ce qu'on peut construire sur un sol en mouvance, Anouk Verviers analyse le concept économique des ressources, explorant les liens entretenus avec la communauté qu’il a généré, plus particulièrement les liens rattachés à l’écologie d’un lieu et à la mise en commun d’une pratique locale exercée par les femmes qui a été délaissée au profit de l’industrie.

Sous un angle féministe et historique, l’exposition s’appuie sur une recherche menée par l’artiste à propos de la transformation qui s’est opérée autour de l’économie de la fabrication du beurre au Québec, passant de la production domestique, effectuée surtout par les agricultrices au XIXe siècle, jusqu’au tournant industriel du XXe siècle.

Sans les classer ni les hiérarchiser, l’exposition entrelace anecdotes, connaissances somatiques, analyses historiques, gestes méditatifs, recherches d’archives, récits de résidence et confidences. La vidéo - pièce centrale - souhaite démêler, sans y arriver, le rapport de l’artiste à sa génération introduisant le concept de communauté et du legs des générations précédentes.



En s’inscrivant dans différentes communautés, Anouk Verviers élabore des projets collaboratifs sur le long terme qui sont à l’origine de conversations performatives et par l’entremise desquelles, elle aborde des enjeux communs. L’artiste conçoit sa pratique comme une entité bicéphale : une tête dans l’espace social par la mise en place de projets d’art collaboratifs et de recherche socialement engagés et une tête dans le monde de l’art par la réalisation d’œuvres et d’expositions interdisciplinaires. Verviers est actuellement candidate à la maîtrise en Fine Art (MFA) au Goldsmiths College à Londres, R-U (2021-2023) et détient un baccalauréat en arts visuels et médiatiques de l’Université du Québec à Montréal (2017), situé sur le territoire non-cédé de Tiohtià:ke / Mooniyang.

Elle a participé à plusieurs expositions au Canada, en Suisse et au Royaume-Uni : en solo, notamment à OPTICA (2023, Montréal), Vaste et Vague (2023, Carleton) et Regart (2019, Lévis); en groupe, à Future_After (2022, Londres, R-U) et Dogo Residenz (2019, Lichtensteig, Suisse). Elle a pris part à des résidences d’artistes avec CCE@HGAED (2022, Londres, R-U), Dogo Residenz (2019, Lichtensteig, Suisse) ainsi qu’à des projets avec les communautés gravitant autour des centres d’artistes le 3e Impérial (2021, Granby) et Dare Dare (2016, Montréal).

En tant que chercheure, Verviers est membre praticienne du Centre de recherche en innovation et transformation sociale (CRITS), Université St-Paul à Ottawa (territoire non-cédé de Odawa). Elle a également publié dans le Research in Arts and Education Journal (2022) de l'université Aalto, Espoo, en Finlande.




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Racquel Rowe, Making Sweet Bread with Gran, 2020. Détail. Vidéo, 11 min. 32 s. Avec l'aimable permission de l'artiste. | Detail. Video, 11 min. 32 sec. Courtesy of the artist.

Racquel Rowe
du 22 avril 2023 au 17 juin 2023
The Chicken is Just Dead First

Vernissage : 22 avril à 15h00, en présence de l'artiste. visite commentée de l'exposition par l'artiste, en anglais, 22 avril, 15h à 16h

Originaire de la Barbade et résidant au Nouveau-Brunswick, l’artiste interdisciplinaire Racquel Rowe s’inspire de l'histoire, des structures familiales matrilinéaires, des communautés diasporiques et de son éducation issue des Caraïbes. Sous forme de performances, de vidéos, d'installations in situ, la pratique de Rowe embrasse les différences et les similitudes entre les diverses expériences noires à travers les diasporas. À travers ses œuvres, elle s’engage dans des discours critiques sur la race, la migration et le colonialisme afin de renforcer sa propre capacité à comprendre et à rompre avec les représentations coloniales.

The Chicken is Just Dead First fait référence au recueil de nouvelles de Zalika Reid-Benta intitulé Frying Plantain qui réunit des histoires sur les expériences d'une Canadienne de première génération, aux racines jamaïcaines, qui a grandi à Toronto. Par le biais de cette exposition, elle interroge les effets mondiaux et les héritages du colonialisme britannique qui affectent la façon dont les femmes noires sont perçues.



Racquel Rowe est une artiste interdisciplinaire de l’île de la Barbade résidant présentement au Canada. Elle est titulaire d'une maîtrise en beaux-arts de l'Université de Waterloo et d'un baccalauréat en histoire et art en studio de l'Université de Guelph. Sa pratique est continuellement influencée par divers aspects de l’histoire, par les structures familiales matrilinéaires, par les communautés de la diaspora et par son éducation à la Barbade. Prenant la forme de performances, de vidéos, d’œuvres in situ et d’installations, son travail a été amplement diffusé en Ontario.

Explorant la notion de visibilité compulsive et de subversion des idéologies dominantes, Rowe englobe dans sa pratique les différences et les similitudes entre diverses expériences au sein de la diaspora noire. Son engagement dans des échanges critiques sur les notions de race, de migration et de colonialisme augmente sa capacité de comprendre les représentations coloniales et de s’en libérer. La pratique de Rowe est grandement influencée par ce qui l’entoure ; par exemple, la vie à la Barbade pendant de longues périodes lui permet d’expérimenter de nouveaux environnements, d’effectuer des recherches et de se produire dans des structures familiales et communautaires.

Des expositions individuelles lui ont été consacrées au Scarborough Museum, Toronto, Ontario (2022), à la Struts Gallery, Sackville, Nouveau-Brunswick (2022), et à la Galerie d’art de l’Université de Waterloo, Waterloo, Ontario (2021). Récemment, elle a participé à des expositions collectives, notamment aux Cambridge Art Galleries, Cambridge, Ontario (2021) ainsi qu’aux festivals InterAccess Vector, Toronto, Ontario (2021) et Lumen, Waterloo, Ontario (2020). Elle est lauréate du Sylvia Knight Award in Fine Arts en 2021, décerné par l’Université de Waterloo.